Intermarché, comme Leclerc ou Casino auparavant,
teste l’assistant shopping basé sur le NFC et les étiquettes de rayons
« intelligentes » dans son nouveau magasin de proximité à
Issy-les-Moulineaux (92). Ce projet, mené en étroite collaboration avec les
sociétés SES et Budget Box, permet au client de réaliser, grâce à une
application smartphone, la même chose qu’avec une scannette de self-scanning.
Il peut enregistrer ses achats à partir des étiquettes de rayon NFC, profiter
de coupons de réduction contextualisés avant de « décharger » son
panier en caisse.
Voici
une vidéo réalisée par Olivier Dauvers sur le blog grande conso : lundi 7 septembre 2015
samedi 5 septembre 2015
Google décortique le comportement des Français en ligne
Dans son baromètre sur le consommateur en 2015 pour la France, Google cherche à comprendre comment les Français utilisent Internet.
Voici quelques données intéressantes :
80%
des appareils mobiles se connectent au moins une fois par jour à
Internet. Pour les utilisateurs de moins de 34 ans, ces connexions
journalières sont fréquentes ;
- 83% des consommateurs interrogés sont
d’accord avec l’affirmation selon laquelle lorsqu’il s’agit de chercher
une information, Internet est le moyen privilégié;
- See more at: http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.yaKSU2eQ.dpuf- 80% des appareils mobiles se connectent au moins une fois par jour à Internet. Pour les utilisateurs de moins de 34 ans, ces connexions journalières sont fréquentes.
- 83% des consommateurs interrogés sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle lorsqu’il s’agit de chercher une information, Internet est le moyen privilégié.
80%
des appareils mobiles se connectent au moins une fois par jour à
Internet. Pour les utilisateurs de moins de 34 ans, ces connexions
journalières sont fréquentes ; - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.yaKSU2eQ.dpuf
Pour en savoir plus
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes : - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes : - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes : - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
Dans
son baromètre sur le consommateur 2015 pour la France, Google cherche à
comprendre comment les Français utilisent Internet. Voici quelques
données intéressantes : - See more at:
http://www.ad-exchange.fr/google-decortique-le-comportement-des-francais-en-ligne-25896/#sthash.a5kvY5kn.dpuf
vendredi 4 septembre 2015
Les tendances du retail d’aujourd’hui à demain
En 2014, le e-commerce mondial s’est élevé à 1,316 trillion de dollars, tiré par deux grandes puissances : la Chine et les États-Unis. D’ici 2018, son poids passera à 2,5 trillions de dollars soit 8 % du commerce mondial (source : e-Marketer). Une croissance intéressante qui redéfinit la chaîne de valeur du commerce, et donc son avenir.
L'innovation digitale bouleverse le secteur de la distribution, il va devenir multiforme et empruntera divers formats et canaux. Voici quelques grandes tendances :
- L'expérience "retailing" : le commerce est orienté vers l’expérience client et consiste à faire découvrir aux clients de nouvelles expériences d'achat.
- Le commerce s'accélère : La réactivité est une tendance de fond. Les distributeurs mettent de plus en plus l'accent sur la rapidité de mise sur le marché de nouveaux produits, des interactions et des livraisons.
- L'utilisation des réseaux sociaux influence les clients dans leurs choix.
- L'influence du mobile qui sert de lien entre les mondes physique et digital.
jeudi 20 novembre 2014
GS1 fait son entrée dans le Conseil d'administration de l'ACSEL
Lors de l'Assemblée Générale de l'ACSEL, l'association de l'économie numérique, GS1 a fait son entrée au CA, en compagnie de SOLOCAL et VISA. Voici la liste des membres:
Membres du Bureau:
Cyril ZIMMERMANN, Président, HIMEDIA
• Laurent NIZRI, Vice-président, ALTEIR CONSULTING
• Hervé LEROUX, Trésorier, PROSODIE
• Stéphane CLARION, Secrétaire, HAY GROUP
Les autres administrateurs :
• Eric BARBRY, Avocat, ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS
• Georges FISCHER, Directeur Réseaux et Partenariat Internationaux, C.C.I. DE REGION PARIS ILE DE France
• Nicolas HERBRETEAU, Directeur des Relations Institutionnelles, EDENRED France
• Benoît TABAKA, Directeur Relations Institutionnelles, GOOGLE France
• Ludovic FRANCESCONI, Responsable du Département Marketing, GROUPEMENT CARTES BANCAIRES CB
• François DEPREY, Directeur adjoint, GS1
• Simon-Pierre De LA SEGLIERE, Head of Southern Europe, INGENICO PAYMENT SERVICES
• Florent NOSEL, Directeur E-commerce et Digital, KILOUTOU
• Olivier DULAC, Président, L’ATELIER BNP-PARIBAS
• Julien ROSANVALLON, Directeur Département Télévision, MEDIAMETRIE
• Christian BOMBRUN, Directeur Marketing Divertissement et Nouveaux Usages, ORANGE France
• Gimena DIAZ, Directrice Générale, PAYPAL France
• Benjamin TESZNER, Directeur Général, PRESTASHOP
• Olivier MATHIOT, Co-fondateur et Directeur Marketing & Communication, PRICEMINISTER-RAKUTEN
• Jean-Charles BRANDELY, Directeur Général Solocal BTOB, SOLOCAL
• Henri De BODINAT, Président, TIME EQUITY PARTNERS
• Claudie VOLAND-RIVET, Directrice Marketing et Innovation, UNION DES ANNONCEURS
• Vincent MAREINE, Président Directeur Général, VIAPRESSE
• Albert GALLOY, Directeur Innovation, Marketing et Communcation, VISA
• Gilles MARCHAND, Head of business Development, Payment & Digital Banking, WORLDLINE
GS1, membre de l'ACSEL depuis plusieurs années, entend promouvoir le rapprochement des commerces physiques et en ligne par l'utilisation de standards communs, tel que le code-barres et la fiche produit.
Membres du Bureau:
Cyril ZIMMERMANN, Président, HIMEDIA
• Laurent NIZRI, Vice-président, ALTEIR CONSULTING
• Hervé LEROUX, Trésorier, PROSODIE
• Stéphane CLARION, Secrétaire, HAY GROUP
Les autres administrateurs :
• Eric BARBRY, Avocat, ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS
• Georges FISCHER, Directeur Réseaux et Partenariat Internationaux, C.C.I. DE REGION PARIS ILE DE France
• Nicolas HERBRETEAU, Directeur des Relations Institutionnelles, EDENRED France
• Benoît TABAKA, Directeur Relations Institutionnelles, GOOGLE France
• Ludovic FRANCESCONI, Responsable du Département Marketing, GROUPEMENT CARTES BANCAIRES CB
• François DEPREY, Directeur adjoint, GS1
• Simon-Pierre De LA SEGLIERE, Head of Southern Europe, INGENICO PAYMENT SERVICES
• Florent NOSEL, Directeur E-commerce et Digital, KILOUTOU
• Olivier DULAC, Président, L’ATELIER BNP-PARIBAS
• Julien ROSANVALLON, Directeur Département Télévision, MEDIAMETRIE
• Christian BOMBRUN, Directeur Marketing Divertissement et Nouveaux Usages, ORANGE France
• Gimena DIAZ, Directrice Générale, PAYPAL France
• Benjamin TESZNER, Directeur Général, PRESTASHOP
• Olivier MATHIOT, Co-fondateur et Directeur Marketing & Communication, PRICEMINISTER-RAKUTEN
• Jean-Charles BRANDELY, Directeur Général Solocal BTOB, SOLOCAL
• Henri De BODINAT, Président, TIME EQUITY PARTNERS
• Claudie VOLAND-RIVET, Directrice Marketing et Innovation, UNION DES ANNONCEURS
• Vincent MAREINE, Président Directeur Général, VIAPRESSE
• Albert GALLOY, Directeur Innovation, Marketing et Communcation, VISA
• Gilles MARCHAND, Head of business Development, Payment & Digital Banking, WORLDLINE
GS1, membre de l'ACSEL depuis plusieurs années, entend promouvoir le rapprochement des commerces physiques et en ligne par l'utilisation de standards communs, tel que le code-barres et la fiche produit.
GS1 Propulse le code-barres dans le commerce digital
Les standards GS1 vous croyez peut-être les connaitre...vous vous dites sans doute "c'est des codes-barres pour le passage en caisse et la logistique, des messages commerciaux... voire de la RFID."
Et bien, plus seulement ! Regardez cette courte vidéo de 3 minutes et découvrez la puissance des standards GS1 pour le commerce omni-canal!
Et bien, plus seulement ! Regardez cette courte vidéo de 3 minutes et découvrez la puissance des standards GS1 pour le commerce omni-canal!
vendredi 26 septembre 2014
Colloque INCO 1169: Etes vous prêts?
« Nouveau règlement sur l’information du consommateur : étiquetage et vente à distance pour les denrées alimentaires, êtes-vous prêts ? », une question centrale du colloque organisé conjointement par GS1 France (Organisation de standardisation), l’ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), la FCD (Fédération du Commerce et de la Distribution) et l’ILEC (l’Institut de Liaisons et d’Etudes des industries de Consommation) le mardi 23 septembre.
Conscients de l’importance stratégique du sujet à quelques semaines de l’entrée en application du règlement UE n° 1169/2011, 380 industriels de l’agro-alimentaire et des distributeurs étaient présents pour assister à cette journée de débats.

Une matinée dédiée au décryptage de la règlementation
La DGCCRF et l’ANIA ont posé le cadre formel en rappelant les grands principes du règlement puis en expliquant ses impacts sur l’étiquetage des denrées alimentaires. Pour Fabienne Chol, directrice générale de l’Institut National de la Consommation, « consommer, c’est avant tout choisir », et pour elle, le règlement INCO va dans ce sens. Rendre les étiquettes comparables grâce à un ordre d’affichage identique des informations s’avère être une réelle avancée en faveur des consommateurs.
La matinée a été clôturée par Christophe Didion, de la DG SANCO qui a notamment fait un point concernant les travaux européens sur l’étiquetage lié à l’origine des produits. Par exemple, des réflexions sont en cours pour identifier l'origine de l'ingrédient primaire : lieu de transformation ou lieu des matières premières.
Dans la continuité des questions autour de l’origine des produits, deux préoccupations majeures ont été soulevées lors de la table-ronde concluant la matinée : la responsabilité de l’exploitant et les problématiques liées à l’image du produit publié sur les sites de vente à distance.
Réglementation et e-commerce
Comme pour le volet nutritionnel, le règlement INCO impose de nouvelles obligations pour la vente à distance. Industriels et distributeurs ont collaboré afin de répondre à ces nouvelles exigences réglementaires. Après plus de 18 mois de travaux menés au sein du Comité de Pilotage GS1 « - INCO-1169 », Menouar Lounes de Provera, Emmanuel Treuil de Soparind Bongrain et Xavier Barras de GS1 France, ont présenté le bilan de ces travaux et les perspectives à venir.
La table-ronde « distributeurs » fut un moment très attendu par la salle : Auchan, Carrefour, Cora/Provera et Système U ont présenté leur démarche et leur planning pour récupérer l’information produit des industriels. Afin de répondre au mieux au exigences de la réglementation, il y a 3 challenges majeurs majeurs pour les industriels : centraliser et structurer leurs informations produits en interne, la fiabilité des données et la nécessité d’échanger des données sur des outils professionnels.
Afin d’apporter des solutions opérationnelles aux participants, la journée s’est clôturée par les témoignages des offreurs de solutions autour de l’importance d’utiliser des catalogues électroniques interopérables.
Intervenants
Xavier Barras, Directeur Innovation et Technologies, GS1 France
Catherine Chapalain, Directrice Générale – ANIA
Fabienne Chol, Directrice Générale – Institut National Consommation
François Deprey, Directeur général adjoint – GS1 France
Alain Dupuy - Nestlé
Gilles Giordano, Directeur CSS Marchandise - Carrefour
Camille Helmer, Responsable des affaires règlementaires, ANIA
Menouar Lounes, Administrateur Référentiel – Provera
Christine Maucourt, Directrice Administration Commerciale – Super U
Richard Panquiault, Directeur Général – ILEC
Mathieu Pecqueur, Directeur Agriculture et Qualité – FCD
Caroline Rouveyrol, Conseiller Technologique Nutrition Santé – RMT Nutriprevius
Emilie Tafournel, Responsable Qualité - FCD
Emmanuel Treuil, Directeur du Droit Alimentaire – Soparind Bongrain
Conscients de l’importance stratégique du sujet à quelques semaines de l’entrée en application du règlement UE n° 1169/2011, 380 industriels de l’agro-alimentaire et des distributeurs étaient présents pour assister à cette journée de débats.

Une matinée dédiée au décryptage de la règlementation
La DGCCRF et l’ANIA ont posé le cadre formel en rappelant les grands principes du règlement puis en expliquant ses impacts sur l’étiquetage des denrées alimentaires. Pour Fabienne Chol, directrice générale de l’Institut National de la Consommation, « consommer, c’est avant tout choisir », et pour elle, le règlement INCO va dans ce sens. Rendre les étiquettes comparables grâce à un ordre d’affichage identique des informations s’avère être une réelle avancée en faveur des consommateurs.
La matinée a été clôturée par Christophe Didion, de la DG SANCO qui a notamment fait un point concernant les travaux européens sur l’étiquetage lié à l’origine des produits. Par exemple, des réflexions sont en cours pour identifier l'origine de l'ingrédient primaire : lieu de transformation ou lieu des matières premières.
Dans la continuité des questions autour de l’origine des produits, deux préoccupations majeures ont été soulevées lors de la table-ronde concluant la matinée : la responsabilité de l’exploitant et les problématiques liées à l’image du produit publié sur les sites de vente à distance.
Réglementation et e-commerce
Comme pour le volet nutritionnel, le règlement INCO impose de nouvelles obligations pour la vente à distance. Industriels et distributeurs ont collaboré afin de répondre à ces nouvelles exigences réglementaires. Après plus de 18 mois de travaux menés au sein du Comité de Pilotage GS1 « - INCO-1169 », Menouar Lounes de Provera, Emmanuel Treuil de Soparind Bongrain et Xavier Barras de GS1 France, ont présenté le bilan de ces travaux et les perspectives à venir.
La table-ronde « distributeurs » fut un moment très attendu par la salle : Auchan, Carrefour, Cora/Provera et Système U ont présenté leur démarche et leur planning pour récupérer l’information produit des industriels. Afin de répondre au mieux au exigences de la réglementation, il y a 3 challenges majeurs majeurs pour les industriels : centraliser et structurer leurs informations produits en interne, la fiabilité des données et la nécessité d’échanger des données sur des outils professionnels.
Afin d’apporter des solutions opérationnelles aux participants, la journée s’est clôturée par les témoignages des offreurs de solutions autour de l’importance d’utiliser des catalogues électroniques interopérables.
Intervenants
Xavier Barras, Directeur Innovation et Technologies, GS1 France
Catherine Chapalain, Directrice Générale – ANIA
Fabienne Chol, Directrice Générale – Institut National Consommation
François Deprey, Directeur général adjoint – GS1 France
Alain Dupuy - Nestlé
Gilles Giordano, Directeur CSS Marchandise - Carrefour
Camille Helmer, Responsable des affaires règlementaires, ANIA
Menouar Lounes, Administrateur Référentiel – Provera
Christine Maucourt, Directrice Administration Commerciale – Super U
Richard Panquiault, Directeur Général – ILEC
Mathieu Pecqueur, Directeur Agriculture et Qualité – FCD
Caroline Rouveyrol, Conseiller Technologique Nutrition Santé – RMT Nutriprevius
Emilie Tafournel, Responsable Qualité - FCD
Emmanuel Treuil, Directeur du Droit Alimentaire – Soparind Bongrain
vendredi 18 juillet 2014
Les recommandations pour un QR Code de qualité : suivez le guide.
Denso Wave ADC, l’inventeur du QR Code, avait cette
prémonition en 2011 : “Using QR Code generating software
that is not ISO compliant can be especially problematic if the QR Code is to be
read by Smartphones, whose quality may greatly vary. Only ISO Compliant QR Code
generating software can ensure maximum symbol readability“ (QR Code® Essentials ©2012). Ce
qui exprimé autrement revient à dire qu’un QR Code respectant la norme ISO/IEC 18004 en vigueur
aura toutes les chances de fonctionner
sur tous les lecteurs de codes barres sur smartphones, même les moins
« rigoureux ».
Et il n’y
a qu’à faire des tests sur les QR Codes qui fleurissent un peu partout sur nos
objets du quotidien pour se rendre compte que le respect de la norme est loin d’être
une priorité, au grand dam des utilisateurs persévérants qui n'arrivent pas toujours à la promesse qui leur est faite. Mais
alors, qui pourrait mettre un peu d’ordre dans ce
déploiement encore mal maîtrisé ? C’est en ces termes que quelques
annonceurs, éditeurs de solutions et experts de la technologie QR Code ont
frappé à la porte de GS1, nous demandant vivement d’émettre des
recommandations avant que les mauvaises pratiques ne finissent définitivement par tuer dans l’œuf tous les bénéfices
de cette technologie prometteuse.
Il aura fallu plusieurs mois de questionnement, d’observations, de tests et d'analyses à un petit groupe d’altruistes investis au quotidien dans l'usage de la technologie QR Code pour émettre chez GS1 les recommandations dont il
est fait référence dans ce post. On y découvre (ou re-découvre) ainsi que l’application du QR Code, en
apparence très simple, nécessite néanmoins un strict respect de principes fondateurs du QR Code ... et du code à barres en général. Sans détailler toutes ces règles ici, prenons quelques exemples fréquemment
observés : l’absence de la zone de silence (c'est-à dire de marge) autour du QR Code ou encore le contraste trop faible entre les carrées clairs et sombres qui nuisent à la bonne lisibilité du QR Code. Si l'on ajoute à cela des personnalisations graphiques audacieuses (disons même risquées), une utilisation excessive de la correction d'erreur, des liens URL non conformes aux standards du Web, on obtient tous les ingrédients de campagnes marketing mobile ratées et non rentables.
Bref, vous l'aurez compris : hors des normes, point de salut ! Mais il est encore temps de bien faire. Si vous intervenez dans la chaîne de création et de diffusion des QR Codes imprimés sur les packagings, au sein d'un département Marketing, Packaging, Qualité, Print ou Digital, ou encore d'une agence Web ou Marketing, téléchargez sans attendre ce guide. Il vous aidera à garantir une qualité et une lisibilité optimale de vos QR Codes pour des campagnes réussies.
Bref, vous l'aurez compris : hors des normes, point de salut ! Mais il est encore temps de bien faire. Si vous intervenez dans la chaîne de création et de diffusion des QR Codes imprimés sur les packagings, au sein d'un département Marketing, Packaging, Qualité, Print ou Digital, ou encore d'une agence Web ou Marketing, téléchargez sans attendre ce guide. Il vous aidera à garantir une qualité et une lisibilité optimale de vos QR Codes pour des campagnes réussies.
![]() |
QR Codes imprimés pour Smartphones |
Téléchargez le document en cliquant ici.
Ces recommandations sont réalisées à partir des normes et des retours d'expérience des utilisateurs. Vos remarques sont donc essentielles pour faire évoluer ce document.
Inscription à :
Articles (Atom)